L’homme s’agenouille devant ce caveau de fortune. La pierre est froide. Les larmes inondent ses joues. Il serre les mâchoires. Ne pas hurler. Ne pas être entendu.
Il le lui promet. Il va revenir bientôt. Il faut les prévenir.
Mais avant, il doit traverser le Pô. Il perçoit le battement de ses flots contre la berge. Au loin, un oiseau de nuit émet un cri strident.
«Une invitation pour une Nuit blanche dans une galerie d’Art contemporain de Torino. Une traversée passionnée et passionnante qui va délivrer, au fil de l’eau, les secrets d’une famille bourgeoise piémontaise où se côtoient l’Histoire, l’amour de l’art, de la cuisine et de la liberté.»